Politique agricole urbaine

Cet engagement est alimenté par un constat simple, notre circonscrpition possède des superficies sous exploitées, certains terrains sont abandonnés, acquis pour spéculer ou encore nos toits.

De ce constat et afin d'innover sur la question de la production alimentaire nous pouvons tirer deux perspectives à envisager et à mettre en place:

La première étant l'exploitation intelligente des superficies que constituent les toits de nos immeubles, en soutenant des projets d'aménagement de potagers et de jardins collectifs.

La seconde consistant à faire le bilan des terrains abandonnés acquis dans l'objectif de spéculer, ils deviennent pour certains des lieux de nuisances pour le voisinage, et de ce fait contribuent à un malaise pour certains de nos concitoyens. Entamer une action concertée et réfléchie devient nécessaire dans le but de constituer un plan d'action et de développer les terres sous-exploitées en des terres utiles pour la collectivité publique, jusqu'à ce que les propriétaires immobilier démarrent rééllement leur projet en ces lieux.

Les avantages d'une telle politique se refléteraient sur notre vie quotidienne par une prise de conscience positive et humaine, en produisant ce que nous mangeons tout prêt de chez nous, et en accueillant la biodiversité de la nature dans nos villes et dans nos quartiers, autrement dit une manière positive d'impacter sur notre environnement, en absorbant, par exemple, une partie de nos rejets de particules nocives dans l'atmosphère par la culture de plante jouant ce rôle.

Nous pourrions développer des projets associatifs en partenariat avec nos écoles, nos collèges et nos lycées, afin de transmettre à notre jeune génération la connaissance de la culture des jardins de nos anciens.

Ensemble amenons la campagne dans nos villes !